« Lïndariel – La Pierre des Rois » se dévoile par fragments… Sur Instagram et Twitter, Ivënshyre propose, en trente étapes, un itinéraire littéraire et imagé à travers le roman. Il permet de découvrir pour chaque chapitre un extrait associé à une image symbolique. Retour sur les dix premiers éléments de cette chasse aux indices.
Les montagnes d’Aimsi se couvraient alors d’une neige immaculée et scintillante que l’hiver, orfèvre aux doigts de cristal, avait essaimée sur leurs flancs.
Par un jour sombre et orageux, un homme tout encapuchonné de noir se présenta aux portes de la ville.
Son port de tête, sa prestance, tout dans sa physionomie reflétait douceur et noblesse de manière charismatique.
Une frêle brise emportait des tourbillons de flocons qui allaient se perdre au-dessus du lac d’un bleu laiteux.
Son cœur sembla se liquéfier dans un écoulement glaçant.
À ce moment précis, le tonnerre éclata, accompagné du fracas des armes.
Le mystérieux oiseau tourbillonnait haut dans le ciel, le plumage aussi scintillant qu’une étoile.
À l’aide de la magie du joyau et de celle dont il était dépositaire, il jeta un puissant sort qui lia la Pierre de l’Eau à la lignée royale d’Ériador.
Will s’apprêtait à avouer l’épineuse situation dans laquelle ils se trouvaient lorsqu’un corbeau vint se poser sur une proéminence rocheuse.
C’était la première fois de sa vie qu’il tuait autrement que pour se nourrir.
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